La sémantique ? Un avantage concurrentiel !
Analyser son environnement concurrentiel, identifier des clients potentiels, trouver son prochain employeur… Le point commun à ces actions ? Le ciblage, une activité souvent chronophage à la fiabilité parfois relative à cause de données imprécises ou pas forcément à jour. Comment l’optimiser ? Comment gagner en temps et en précision, à l’heure où les budgets post-Covid sont encore plus contraints ?
L’origine du problème : l’imprécision du code Naf
Toutes les entreprises se voient attribuer un code Naf à leur création. C’est ce numéro qui permet aux commerciaux, marketeurs et autres analystes d’identifier facilement des sociétés en fonction de leur activité. Pour autant, s’il rend bien des services, son imprécision est réelle pour au moins cinq raisons :
- un changement d’activité de l’entreprise sans actualisation du code ;
- des codes aux libellés particulièrement brumeux, à l’image du code 7022Z qui regroupe l’ensemble des cabinets de conseil sans distinction (organisation, RH, stratégie, etc.). Cette incapacité à identifier l’activité réelle s’exprime, a fortiori, à l’intérieur même d’une catégorie. Il est impossible de faire la distinction entre un cabinet de recrutement et un cabinet d’outplacement :
- l’existence de codes comportant la mention n.c.a. pour « non classé par ailleurs » permettant de classer dans un secteur l’ensemble des activités non répertoriées ;
- l’inexistence de certains codes renvoyant à des activités trop spécifiques – comme les avocats, intégrés dans un sur-ensemble « activités juridiques » incluant les notaires et les huissiers – ou trop récentes – comme les entreprises actives dans l’e-santé, l’e-sport ou le bio. Autant de termes ne figurant pas parmi les 732 codes Naf ;
- enfin, l’attribution par l’Insee d’un code Naf non demandé lors de la création de l’entreprise crée également une dernière source de confusion.
Des conséquences potentiellement négatives
Des résultats aléatoires, une activité chronophage, parfois démotivante pour les équipes. Le risque de passer à côté de ce que l’on cherche est loin d’être négligeable alors que cette activité est plus que jamais stratégique dans un contexte de budget bien souvent contraint.
Comment réduire cette sensation de loterie
et reprendre la main sur ses recherches ?
Si démarrer une recherche à partir du code Naf reste utile, la compléter par un travail sémantique grâce à un moteur de recherche B2B est un moyen de se créer un avantage concurrentiel et s’assurer d’identifier précisément l’activité ciblée.
Nulle magie dans tout cela, mais la « simple » utilisation d’algorithmes permettant d’identifier des mots-clefs présents sur les sites Internet des entreprises présente deux atouts immédiats :
- d’une part, compléter une recherche à partir d’un code Naf c’est augmenter mécaniquement son marché potentiel ;
- d’autre part, en l’absence de code Naf c’est tout simplement se donner la possibilité de continuer à prospecter et à identifier des concurrents, prospects, fournisseurs…
Soit, mais quelle différence avec les moteurs classiques ?
D’abord, les réponses apportées ne dépendent pas d’une régie publicitaire, mais sont 100% neutres et répondent exclusivement aux critères de recherches définis par les utilisateurs. Ensuite, c’est la possibilité totalement innovante de croiser les informations issues des sites web AVEC les données provenant des bases légales et financières officielles.
Pour quels bénéfices ? Des résultats plus précis et moins nombreux, car plus sélectifs. Avec, en prime, une activité moins chronophage et un gain de temps qui permettra aux équipes de se réorienter vers des tâches à plus forte valeur ajoutée.
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