L’Institut souhaitait développer une plateforme d’informations à la croisée des secteurs médicaux, de la recherche et de la technologie. Pour cela, il devait identifier son écosystème potentiel (laboratoires, centres de R&D, entreprises, partenaires) avec une difficulté clef : son champ d’action ne relevait pas d’un code Naf spécifique, mais touchait plusieurs dizaines de codes. La recherche à partir de cette nomenclature s’avérait donc impossible.